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1972-2012 : 40 ans d'histoire de l'UPBM (et de nos sections) - Fonctionnement

Page 4 sur 6: Fonctionnement

 

4. Fonctionnement

Comment communiquer ?

Faire une réunion supposait d’informer tout le monde : seule solution le courrier postal et il fallait faire des photocopies de l’ordre du jour et convocation, les mettre en enveloppe, ajouter les adresses, lécher et coller les timbres, poster… Les enfants LEVEAU et JOFFIN se souviennent de la joie du courrier manuel !

Dans les années 1989 à 1997, Pierre CORNET et Jean-Noël JOFFIN animent l’édition d’un petit journal de 4 pages intitulé “Labo News”, utilisé pour “recueillir des infos diverses sur les produits et matériels” et les faire circuler rapidement vers les collègues.

Si la communication par courrier postal est la règle dans les années 1970, les nouvelles technologies : Minitel (1983), Informatique (1984), Internet (1999), accélèrent et facilitent les échanges.

Rappelons-nous une expérience mémorable de communication par minitel à plusieurs dans des conditions inimaginables aujourd’hui, initiée par François RENAUD (Villeurbanne).

Mais l’arrivée d’internet a vraiment changé les choses avec une communication facilitée.

C’est grâce à Mostafa KRIAT que l’UPBM a investi la toile. Il a su rassembler une équipe efficace avec Antoine GAUDIN, Stéphane LEBLOND et l’inoxydable Didier HIROU avant de partir cueillir des châtaignes en Ardèche.

L’ordinateur est la vraie révolution de ces années 1980 : il est difficile, pour les jeunes, d’imaginer la vie sans informatique et internet… On passe du copier coller de sujets à une gestion entièrement informatique…

Mais si L’OPÉRON papier perdure, la question d’une édition électronique a été évoquée… et abandonnée dans l’immédiat.

Les petites mains de l’upbm

Tenir à jour le fichier adhérent 

Au début sur cahier de papier, on note le nom et le n° d’adhésion, et on archive une photo d’identité. Puis sur cahier “exacompta” les noms sont classés par académie et par établissement. Ensuite on utilise un classeur à feuilles mobiles où sont en plus notées les cotisations.

Rappeler les retardataires non à jour 

Les premières trésorières efficaces furent des Lyonnaises : Jacqueline CROIBIER, Hélène BROSSARD, aidées par Odette TERRY, Danièle LECQ, Claudette BOURDON, Nicole GINIÈS. Puis Jean-Pierre GINIÈS est le trésorier, avant de passer la main à Gérard LEVEAU (Saint-Denis puis Caen) en 1990.

À l’époque chaque centime de franc est compté et les dépenses sont réduites au minimum (c’est l’époque des pionniers !).

Expédier L’OPÉRON

Le centre d’expédition est Lyon jusqu’en 1999.  Fin 1999 ou début 2000, les collègues d’Ambérieu, malgré leur faible nombre, reprennent au pied levé l’expédition de L’OPÉRON. Pour finir par le routage par l’imprimeur en 2011…

Quatre fois par an au moins, plus quelques séances pour les convocations à l’AG ou des envois d’enquête, l’équipe lyonnaise se réunit le soir dans une salle de TP (à l’époque les lycées ferment tard, et il n’y a pas encore de caméras, radars, etc…).

Partage des fiches mobiles du fichier, écriture à la main des adresses sur les enveloppes, collage des timbres poste, mise en carton pour le transport le lendemain dans le coffre de l’auto GINIÈS et dépôt à la Poste…

La technique est améliorée en 1987 avec l’outil informatique “4ème Dimension”, l’application ayant été faite par Jean-Luc CHASSÉ (faculté de Lyon) et Jean-Pierre GINIÈS, ce qui permet l’édition d’étiquettes lycées (noms sur le côté) et d’étiquettes individuelles. La tâche d’écriture des adresses est remplacée par le collage des étiquettes sur les enveloppes ; il reste le remplissage, le timbrage et le dépôt postal.

Donc un travail bénévole, mais ces soirées sont de bons souvenirs. Du travail planifié et rondement mené, avec la participation d’enfants de collègues venus jouer à la Postière, mais aussi des rires, des blagues, des échanges plus longs qu’entre deux portes, et puis les dernières années, un petit arrosage avec gâteaux.

Nous remercions l’équipe d’Ambérieu qui a pris le relais des lyonnais(e)s.

Commandes et facturation des anciens numéros de L’OPÉRON et des diapositives

Tâches assurées par Danièle LECQ, Chantal RENAUD et Jean-Pierre GINIÈS.

Commande et facturation des annales F8 et BTS

Par Guy BATTIER d’une grande fidélité, d’une belle générosité et d’une grande patience avec des collègues trop pressés. Puis Françoise DUMOULIN (Lyon) prend le relais.

L’équipe de Lyon a été marquée par trois disparitions : Danièle LECQ (1985), Chantal RENAUD (1997), Hélène BROSSARD (2001). Les Lyonnais(es) et les autres se souviennent.

L’assemblée générale : un moment fort de la vie associative 

Les premières AG ont lieu :

  • en 1972 à Lyon : assemblée constitutive et bureau provisoire,

  • en 1973 à Lyon : bureau définitif,

  • en 1974 : pas d’AG,

  • en 1975 à Cachan (ENSET), 

  • en 1976 à Lyon : AG samedi et dimanche,

  • en 1977 à Montpellier : cette AG marque un tournant car organisée sur 3 jours, samedi, dimanche et lundi, avec la visite de la vieille ville et des laboratoires du Pr Jacques ROUX. Superbe accueil des montpelliéraines !

  • en 1978 à Saint-Julien en Beaujolais dans la maison de Claude BERNARD (pour le centième anniversaire de sa mort).

La suite ? C’est une ville différente chaque année : un peu un tour de France touristique qui a ses fidèles. L’avantage, c’est de sensibiliser toutes les régions, de visiter les laboratoires des lycées et de prendre des idées nouvelles… C’est l’occasion de maintenir la cohésion du groupe et de se donner du courage au début de chaque année scolaire.

Un grand merci aux nombreuses équipes qui nous ont accueillis pour les AG. L’organisation de ces AG est un gros travail, mais les retombées sont positives pour l’ambiance intra lycée.

Voir sur le site du congrès annuel les viles hôtes de chacun des congrès.

Le bureau de l’UPBM

Jacques QUEVAL Président est nommé à la Réunion en 1976.

En 1978, Jean-Pierre GINIÈS entre au bureau où il occupe successivement les postes de : Vice-Président 2 ans (faisant fonction de Président), Président 4 ans, Vice-Président 4 ans, Trésorier 4 ans, Trésorier adjoint 2 ans, Assesseur 2 ans.

En 1984, Jean-Noël JOFFIN est élu Président et il le reste jusqu’en 2002, date à laquelle il prend le relais de Jean-Pierre GUÉHO au poste de rédacteur de L’OPÉRON.

L’UPBM doit beaucoup à Jean-Noël JOFFIN, et la vitalité de notre association est bien à l’image du Président qu’il a été. Jean Noël, aidé de nombreux membres de l’association, nous a fait franchir les étapes de la modernité avec le Minitel, l’Informatique, les Macintosh et surtout la nouvelle maquette de L’OPÉRON depuis 1997.

Merci à Christine SCHNEIDER qui a brillamment assuré la Présidence et bon vent à Jean-Paul BRUNET.

Trésorerie : la transparence

Échaudé par une autre expérience associative (loi 1901), Jean-Pierre GINIÈS a voulu la transparence des comptes, pas seulement le bilan annuel comme le font nombre d’associations.

Tous les comptes bancaires doivent être visibles. Et nous devons connaître toutes les personnes habilitées à les gérer. En somme un tableau de bord qui permet de passer la main dans la transparence. 

Merci aux trésoriers Gérard LEVEAU et Gisèle RIGARD qui savent eux aussi combien le travail de trésorier est ingrat mais indispensable. Et merci à Christine BENAYOUN qui reprend le flambeau dans le même esprit.

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